Storyteller / Conteur d'entreprise / Conteuse d'entreprise : Le Guide Complet du Métier en Belgique
Maître de la narration, tu crées des récits percutants pour captiver, fédérer et donner une âme aux entreprises, aux marques et aux projets.
Et si tu devenais la voix qui transforme une marque en une véritable légende ?
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Études
Un Bachelier (3 ans) ou un Master (5 ans) en communication, journalisme ou relations publiques, souvent suivi dans une Haute École comme l'IHECS ou une université comme l'UCLouvain, est la voie royale.
Qualités clés
Créativité, empathie, excellente communication orale et écrite, esprit de synthèse, curiosité, sens de l'écoute, adaptabilité, maîtrise des techniques narratives.
Salaire
2.600 - 4.800€ brut/mois (débutant 2.500-3.200€, expérimenté 3.500-5.500€). Les tarifs en tant qu'indépendant varient fortement.
Conditions
Le travail s'effectue souvent en bureau pour la recherche et l'écriture, avec des déplacements pour des interviews ou des présentations. Les horaires peuvent être flexibles mais sont rythmés par des échéances précises.
Introduction au métier de storyteller / conteur d'entreprise / conteuse d'entreprise
Tu as toujours aimé raconter des histoires ? Tu sens le pouvoir des mots pour émouvoir, convaincre et inspirer ? Le métier de Storyteller est fait pour toi. En tant que conteur d'entreprise, tu ne vends pas un produit, tu partages une vision, une histoire humaine qui crée un lien unique et durable avec le public. Tu es l'architecte de l'identité narrative d'une organisation, transformant des faits bruts en épopées mémorables.
📊 Le métier en chiffres (Belgique 2025)
🔍 Missions quotidiennes
- Définir l'arc narratif (story arc) d'une marque, d'un produit ou d'un projet.
- Mener des interviews avec des collaborateurs, des fondateurs ou des clients pour recueillir des témoignages.
- Rédiger des récits captivants pour divers supports : articles de blog, scripts vidéo, podcasts, discours.
- Concevoir et animer des ateliers de formation au storytelling pour les équipes internes.
- Collaborer étroitement avec les départements marketing, communication et ressources humaines.
- Transformer des données complexes ou des rapports techniques en histoires claires et engageantes.
- Assurer une veille stratégique sur les nouvelles tendances narratives et les formats innovants.
- Adapter le ton, le style et le message en fonction des différentes audiences cibles.
- Gérer la production de contenu narratif, de l'idée à la diffusion finale.
- Analyser l'impact et la résonance des histoires racontées sur l'engagement du public.
🛠️ Outils et équipements
📅 Journée type
💡 Le métier en Belgique : faits marquants
📖 Témoignage
« Mon rôle, c'est de trouver le cœur battant d'une entreprise. Je ne liste pas des faits, je révèle l'aventure humaine derrière les chiffres. C'est un travail d'enquêteur et d'artiste à la fois, et voir une histoire prendre vie et toucher les gens, c'est incroyablement gratifiant. » - Chloé, Storyteller indépendante à Namur.
🎓 Formation pour devenir storyteller / conteur d'entreprise / conteuse d'entreprise
Voici les étapes de formation et les centres de formation en Belgique :
🏢 Lieux de travail
⚖️ Avantages et inconvénients du métier
✅ Points +
- Métier extrêmement créatif et stimulant intellectuellement.
- Forte dimension humaine et relationnelle.
- Variété des sujets et des secteurs d'activité.
- Impact visible et mesurable sur l'image d'une organisation.
- Possibilité de travailler en tant qu'indépendant et de choisir ses projets.
- Compétences transférables à de nombreux autres métiers de la communication.
- Au cœur de la stratégie de l'entreprise.
- Pas de routine, chaque histoire est un nouveau défi.
⚠️ Points -
- Pression liée aux échéances et aux attentes des clients.
- Difficulté de mesurer le retour sur investissement de manière purement quantitative.
- Nécessité de se renouveler constamment pour ne pas être répétitif.
- Le statut d'indépendant peut engendrer une certaine précarité au début.
- Le 'syndrome de la page blanche' peut être une source de stress.
- Besoin de convaincre des interlocuteurs parfois sceptiques sur l'importance du récit.
- Charge de recherche parfois longue et fastidieuse avant l'écriture.
- Frontière parfois floue entre storytelling et communication marketing pure.
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📝 Conseils pour devenir storyteller / conteur d'entreprise / conteuse d'entreprise
❓ Auto-évaluation : êtes-vous fait pour ce métier ?
Se poser les bonnes questions est la première étape. Mais l'intuition ne suffit pas. Pour éviter une erreur d'orientation coûteuse, il est essentiel de confronter votre perception à une analyse objective de vos forces et de vos motivations réelles.
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Démarrer le quiz et voir mon profil❓ Questions fréquentes
Quel est le salaire d'un storyteller en Belgique ?
Le salaire varie fortement selon l'expérience et le statut. Un storyteller salarié débutant peut espérer entre 2.500€ et 3.200€ brut/mois. Avec plusieurs années d'expérience, ce montant peut monter entre 3.500€ et 5.500€ brut. En tant qu'indépendant, les tarifs sont très variables, allant de 400€ à plus de 800€ par journée de travail selon la renommée et la complexité de la mission.
Quelles études suivre en Belgique pour devenir conteur d'entreprise ?
La voie la plus classique est un Bachelier ou un Master en Communication, en Journalisme ou en Relations Publiques. Des institutions comme l'IHECS à Bruxelles, l'UCLouvain ou l'ULB sont très réputées. Des spécialisations en marketing digital, en écriture créative ou même en arts du spectacle peuvent être des atouts très précieux pour compléter sa formation initiale.
Ce métier a-t-il de réels débouchés en Wallonie et à Bruxelles ?
Oui, c'est un métier en pleine croissance. Les entreprises belges ont compris que pour se démarquer, elles ne doivent plus seulement vendre un produit, mais aussi une histoire. Les débouchés se trouvent principalement dans les agences de communication à Bruxelles, mais aussi au sein des départements marketing des PME et grandes entreprises en Wallonie, notamment dans le Brabant wallon.
Est-il préférable de travailler comme salarié ou comme indépendant ?
Chaque statut a ses avantages. Le salariat offre la sécurité de l'emploi et un revenu fixe, ce qui est idéal pour débuter et se former au sein d'une équipe. Le statut d'indépendant offre plus de flexibilité, la possibilité de choisir ses clients et des revenus potentiellement plus élevés, mais il demande de solides compétences en gestion et en prospection commerciale.
Quelles sont les difficultés principales de ce métier ?
La principale difficulté est de toujours trouver de nouvelles idées créatives et de ne pas tomber dans la répétition. Il faut aussi savoir gérer la pression des délais et parfois le scepticisme de certains clients qui ne voient pas immédiatement la valeur d'une bonne histoire. Enfin, il est crucial de rester authentique et de ne pas trahir l'ADN de la marque que l'on représente.
Faut-il obligatoirement savoir bien écrire pour être un bon storyteller ?
Une excellente maîtrise de l'écrit est fondamentale, mais ce n'est pas la seule compétence. Un bon storyteller doit aussi savoir structurer une pensée, synthétiser des informations complexes et, de plus en plus, adapter son récit à des formats variés comme la vidéo ou le podcast. La capacité à raconter une histoire à l'oral est également un atout majeur, surtout pour les présentations et les ateliers.
Comment se constituer un portfolio quand on débute ?
Pour un élève du secondaire ou un jeune diplômé, il est conseillé de créer des projets personnels : lancer un blog sur une passion, créer une chaîne YouTube ou un podcast, ou encore proposer ses services bénévolement à une petite association locale. Ces expériences concrètes sont la meilleure preuve de votre motivation et de vos compétences narratives auprès des futurs employeurs.
Dans quels secteurs d'activité un storyteller est-il le plus recherché ?
Initialement très présent dans les secteurs de la tech et des biens de consommation, le storytelling est désormais recherché partout. Les ONG l'utilisent pour leurs campagnes de sensibilisation, le secteur du luxe pour construire son prestige, les ressources humaines pour attirer des talents (marque employeur), et même le secteur public pour rendre ses actions plus compréhensibles pour les citoyens.
📍 Où se former et travailler en Belgique ?
🎓 Principales formations
- IHECS (Bruxelles)
- UCLouvain (Louvain-la-Neuve)
- ULB (Bruxelles)
- ULiège (Liège)
- Haute École de la Province de Liège - HEPL (Liège)
- Haute École Galilée (Bruxelles)
- UNamur (Namur)
- UAntwerpen (Anvers, formations en communication)
💼 Zones d'emploi
- Région de Bruxelles-Capitale (concentration d'agences et de sièges sociaux)
- Brabant wallon (nombreuses grandes entreprises)
- La province de Liège (pôle créatif et médiatique)
- La province de Namur (institutions publiques et entreprises)
- La province du Hainaut (notamment autour de Charleroi et Mons)
- Anvers et Gand (pour les entreprises d'envergure nationale)
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