🎁 Découvrez votre voie en 2 minutes - Quiz gratuit avec analyse personnalisée
Démarrer

Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique : Le Guide Complet du Métier en Belgique

Étudier le mouvement humain pour améliorer la santé, la performance et le bien-être.

Transformer ta passion pour le sport et le mouvement en découvertes scientifiques ?

Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique - Formation et métier en Belgique

Le métier Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique vous intéresse ? Découvrez en 2 minutes si votre profil est compatible.

Tester ma compatibilité (Quiz Gratuit)
🎓

Études

Doctorat (PhD) indispensable, précédé d'un Master en sciences de la motricité, kinésithérapie, ou sciences biomédicales.

Qualités clés

Rigueur scientifique, curiosité, esprit d'analyse, persévérance, autonomie, bonnes capacités rédactionnelles (anglais scientifique).

💰

Salaire

Variable selon le statut (boursier FNRS, assistant, chercheur qualifié) : de 2 200€ net/mois pour un doctorant à 3 500€+ pour un chercheur confirmé.

⚙️

Conditions

Travail en laboratoire, sur le terrain (clubs sportifs) ou en bureau. Contrats souvent à durée déterminée (mandats de recherche), grande flexibilité horaire mais charge de travail importante.

Introduction au métier de Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Imagine analyser la foulée d'un athlète pour optimiser sa performance ou comprendre comment l'exercice physique prévient des maladies. C'est le quotidien passionnant du chercheur en activité physique. Ce scientifique du sport conçoit et mène des projets de recherche pour approfondir nos connaissances sur le mouvement humain. En Belgique, ce métier s'exerce principalement au sein des universités (UCLouvain, ULiège, ULB) et de leurs laboratoires de pointe. En tant qu'expert en sciences du mouvement, tu seras amené à collaborer avec des médecins, des coachs et des ingénieurs. C'est une carrière exigeante, souvent financée par des mandats du FNRS (Fonds de la Recherche Scientifique), qui requiert un doctorat. Ce professionnel de la recherche sportive contribue directement à des avancées majeures en santé publique, en réadaptation et dans le sport de haut niveau, ce qui rend ce métier intellectuellement très stimulant.

📊 Le métier en chiffres (Belgique 2025)

8 ans (Bachelier + Master + Doctorat) Durée de formation
~400 Professionnels actifs
+5% Croissance annuelle
70% dans la recherche (post-doc) Taux d'insertion
38 ans Âge moyen
40% Proportion de femmes

🔍 Missions quotidiennes du Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

  • Élaborer des protocoles de recherche et des hypothèses scientifiques.
  • Collecter des données en laboratoire ou sur le terrain (tests physiques, questionnaires, mesures physiologiques).
  • Analyser statistiquement les données recueillies et interpréter les résultats.
  • Rédiger et publier des articles scientifiques dans des revues internationales.
  • Présenter ses recherches lors de congrès nationaux et internationaux.
  • Participer à la recherche de financements et à la rédaction de projets (FNRS, Europe).
  • Encadrer des étudiants en Master ou des doctorants.

🛠️ Outils et compétences du Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Matériel d'analyse du mouvement (caméras infrarouges, plateformes de force).
Équipement de mesure physiologique (ergospiromètre, électromyogramme (EMG), électrocardiogramme (ECG)).
Logiciels d'analyse statistique (SPSS, R, Python) et de traitement de données (Matlab).
Bases de données scientifiques (PubMed, Scopus, Web of Science).
Équipement informatique et logiciels de rédaction scientifique (LaTeX, EndNote).

📅 Journée type d'un Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Matin
Expérimentations en laboratoire avec des participants, collecte de données, gestion des équipements.
Après-midi
Analyse des données, lecture de la littérature scientifique, rédaction d'articles ou de rapports.
Fin de journée
Réunions d'équipe de recherche, préparation de cours ou de présentations, réponse aux e-mails.

📈 Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique en Belgique : faits et chiffres

💡 La majorité des chercheurs en sciences de la motricité sont affiliés aux facultés de l'ULiège et de l'UCLouvain, qui concentrent plus de 70% des projets de recherche financés par le FNRS dans ce domaine.
💡 Le secteur de la recherche en activité physique connaît une croissance d'environ 5% par an, tirée par les enjeux de santé publique (sédentarité, vieillissement) et la professionnalisation du sport de haut niveau.
💡 Environ 60% des doctorants et chercheurs dans ce domaine en Belgique francophone sont des hommes, bien que la proportion de femmes soit en augmentation constante.
💡 Près de 80% des chercheurs débutent leur carrière avec des mandats financés par le FNRS ou des bourses de recherche universitaires, pour des durées de 2 à 4 ans.
💡 Un chercheur post-doctoral dans ce domaine en Belgique publie en moyenne 2 à 4 articles scientifiques par an dans des revues internationales pour rester compétitif.

📖 Témoignage d'un chercheur / chercheuse dans le domaine de l’activité physique

« Je m'appelle Thomas, 35 ans, et je suis chercheur en sciences de la motricité à l'ULiège. Mon job, c'est de comprendre l'impact de l'entraînement sur le corps des sportifs d'endurance. En tant que scientifique du sport, je passe mes journées entre le labo, pour les tests, et mon ordinateur, pour analyser les chiffres et écrire. C'est un métier de passion, où il faut être persévérant pour obtenir des financements, mais la satisfaction de publier une découverte est immense. »

🎓 Formation pour devenir chercheur / chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Obtention du CESS (Certificat d'Enseignement Secondaire Supérieur), orientation scientifique recommandée.
Bachelier en sciences de la motricité ou en kinésithérapie et réadaptation (3 ans).
Master en sciences de la motricité, à finalité approfondie (recherche) (2 ans).
Doctorat (PhD) dans un domaine spécifique (biomécanique, physiologie, neurosciences du mouvement...), souvent via un mandat du FNRS (4 ans).
Post-doctorat en Belgique ou à l'étranger pour se spécialiser davantage.

🏢 Lieux de travail du Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Universités (ULiège, UCLouvain, ULB) comme chercheur, assistant ou professeur.
Centres de recherche publics (par ex. liés à l'ADEPS).
Fédérations sportives nationales pour l'optimisation de la performance.
Entreprises privées développant des technologies sportives (wearables, applications).
Hôpitaux universitaires dans des services de médecine du sport ou de réadaptation.

⚖️ Avantages et inconvénients du métier

✅ Points +

  • Stimulation intellectuelle constante et apprentissage continu.
  • Contribution concrète à l'avancement des connaissances scientifiques.
  • Passion pour le sport et le mouvement au cœur du métier.
  • Grande autonomie dans la gestion de ses projets de recherche.
  • Opportunités de collaborations et de voyages internationaux (congrès).

⚠️ Points -

  • Précarité des contrats au début de carrière (mandats à durée déterminée).
  • Forte pression pour publier ('publish or perish').
  • Recherche de financements très compétitive et chronophage.
  • Travail parfois isolé et longues heures passées devant un ordinateur.
  • Reconnaissance salariale qui peut être lente à évoluer.

Ces avantages vous motivent ? Ces inconvénients vous font douter ? Découvrez objectivement si votre profil est fait pour ce métier grâce à notre quiz gratuit.

Faire le quiz gratuit

📝 Conseils pour devenir chercheur / chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Pendant ton master, implique-toi comme bénévole dans un laboratoire de recherche pour acquérir une première expérience.
Soigne ton niveau d'anglais scientifique, c'est la langue de la recherche et des publications.
Développe des compétences en statistiques et en programmation (R, Python), c'est un atout majeur pour un expert en sciences du mouvement.

❓ Auto-évaluation : êtes-vous fait pour ce métier ?

Es-tu curieux(se) de comprendre le 'pourquoi' derrière les performances sportives ?
La rigueur, l'analyse de données et la résolution de problèmes te motivent-elles ?
Es-tu prêt(e) à t'engager dans de longues études (jusqu'au doctorat) ?

Se poser les bonnes questions est la première étape. Mais l'intuition ne suffit pas. Pour éviter une erreur d'orientation coûteuse, il est essentiel de confronter votre perception à une analyse objective de vos forces et de vos motivations réelles.

Découvrez votre profil de compatibilité pour le métier Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Démarrer le quiz et voir mon profil

❓ Questions fréquentes sur le métier Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Quel est le salaire d'un chercheur en activité physique en Belgique ?

Le salaire dépend du statut. Un doctorant boursier (FNRS ou autre) débute autour de 2 200€ net/mois. Un chercheur post-doctoral gagne entre 2 800€ et 3 200€ net. Un chercheur qualifié du FNRS ou un professeur d'université peut atteindre 3 500€ à 5 000€ net/mois en fonction de son ancienneté.

Faut-il absolument un doctorat pour travailler dans ce domaine ?

Oui, pour être chercheur, le doctorat (PhD) est indispensable. Il atteste de votre capacité à mener un projet de recherche de manière autonome. Un Master peut suffire pour des postes d'assistant de recherche ou de technicien de laboratoire, mais les perspectives d'évolution sont limitées.

Quelles sont les principales sources de financement pour la recherche en Belgique ?

La source principale en Belgique francophone est le FNRS (Fonds de la Recherche Scientifique), qui octroie des mandats d'aspirant (doctorat) et de chargé de recherches (post-doc). D'autres sources incluent les financements de l'Union Européenne (programmes Horizon Europe), les bourses universitaires, et les contrats de recherche avec des entreprises privées.

Quels sont les domaines de recherche les plus porteurs actuellement ?

Les domaines porteurs incluent la lutte contre la sédentarité, l'activité physique pour les populations spécifiques (personnes âgées, patients chroniques), la biomécanique du sport pour la prévention des blessures, les neurosciences du mouvement, et l'utilisation des nouvelles technologies (wearables, IA) pour le suivi de la performance.

Quelle est la différence entre un chercheur en sciences de la motricité et un kinésithérapeute ?

Le kinésithérapeute est un praticien de la santé qui applique des techniques de rééducation sur des patients. Le chercheur, ou scientifique du sport, produit les connaissances scientifiques que le kiné pourra ensuite utiliser. Le chercheur est dans le 'pourquoi' et le 'comment ça marche', tandis que le kiné est dans l'application clinique directe.

L'anglais est-il vraiment obligatoire pour devenir un spécialiste en physiologie de l'exercice ?

Oui, absolument. La quasi-totalité des publications scientifiques, des congrès internationaux et des collaborations de recherche se font en anglais. Une excellente maîtrise de l'anglais lu et écrit est une condition sine qua non pour réussir dans ce métier.

Peut-on travailler dans le secteur privé après un doctorat en sciences du mouvement ?

Oui, les débouchés dans le privé se développent. Les entreprises d'équipement sportif, les sociétés développant des applications de santé et de fitness, les clubs sportifs professionnels ou les entreprises pharmaceutiques recrutent des docteurs pour leurs départements R&D. Ces postes sont cependant moins nombreux que dans le secteur académique.

Quelles sont les universités belges les plus réputées dans ce domaine ?

En Belgique francophone, la Faculté des Sciences de la Motricité de l'UCLouvain et le Département des Sciences de la Motricité de l'ULiège sont les deux pôles d'excellence les plus reconnus internationalement pour la qualité de leur recherche. L'ULB possède également une faculté très active dans ce domaine.

Est-il facile de trouver un poste stable après un doctorat ?

Le parcours est compétitif. Après le doctorat, la plupart des chercheurs enchaînent plusieurs contrats post-doctoraux (2-3 ans chacun), souvent à l'étranger. Obtenir un poste permanent (chercheur qualifié FNRS, professeur) est difficile et demande un excellent dossier de publications. La persévérance est clé.

Quel conseil donner à un rhétoricien qui rêve de ce métier ?

Choisis une option scientifique forte en dernière année de secondaire. Ensuite, inscris-toi en bachelier en sciences de la motricité. Sois curieux, lis beaucoup, et n'hésite pas à contacter des professeurs dont les recherches t'intéressent pour discuter avec eux et, si possible, visiter leur laboratoire.

📍 Où se former et travailler en Belgique ?

🎓 Principales formations

  • UCLouvain - Louvain-la-Neuve (Faculté des sciences de la motricité - FSM)
  • ULiège - Liège (Département des Sciences de la Motricité)
  • ULB - Bruxelles (Faculté des Sciences de la Motricité)
  • UNamur - Namur (Recherches associées en sciences biomédicales)

💼 Zones d'emploi

  • Brabant wallon : Louvain-la-Neuve et son parc scientifique, siège de nombreuses spin-offs.
  • Liège : Sart Tilman, pôle majeur pour la recherche en médecine et sport.
  • Bruxelles-Capitale : Campus Erasme et Solbosch, collaborations avec les hôpitaux universitaires.
  • Charleroi : Biopark, opportunités dans les biotechnologies liées à la santé.
  • Sièges des fédérations sportives (ex: Tubize pour le football).

🔎 Métiers similaires à chercheur / chercheuse dans le domaine de l’activité physique

🏷️ Critères du métier Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique

Clique sur un critère de ton choix pour voir d'autres métiers correspondant à ce critère.

Prêt(e) à passer de l'information à l'action ?

Découvrez si le métier Chercheur / Chercheuse dans le domaine de l’activité physique correspond vraiment à votre personnalité avec notre analyse gratuite.

Commencer mon quiz gratuit